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DjeliMoussa Condé est un grand korafoláUn korafolà est un joueur de kora en Mandinka (qui fait parler la kora) - korafolàlù, au pluriel. et chanteur, originaire de Conakry (Guinée). « Griot urbain aux allures de rocker, Djeli Moussa Conde chante au travers de textes engagés, la paix et l'espoir qu'il a en l'humanité... Né en Guinée-Conakry, issu d'une famille de griots, Djeli Moussa Condé apprend très jeune l'art du chant et de la kora. Pendant quatre ans le Maître Lamine Sissoko lui enseigne la Kora et la culture musicale de son pays. Très doué, Djeli se voit décerner par l'Unesco le diplôme de participation au premier Festival de Kora d'Afrique de l'Ouest à Conakry. Déjà, il commence à exprimer ses talents de compositeur. Il part ensuite à l'aventure durant plusieurs années à travers l'Afrique de l'ouest. De séjour à Abidjan, il est repéré par Souleyman Koly, et devient de 1989 à 1993, auteur-compositeur de l'ensemble Kotéba d'Abidjan (Souleyman Koly) avec lequel il participe à de prestigieuses tournées internationales. Dans le même temps, il compose quatre morceaux pour «Waramba », premier Opéra mandingue primé au Festival d'Avignon en 1993. Djeli Moussa s'installe en suite à Paris en 1993. Sans papiers, il est parrainé par Bernadette Lafont et « Musiciens sans frontières » et finit par obtenir son titre de
séjour. « Djeli » va alors collaborer avec des artistes tels que Manu Dibango (wakafrica), Salif Keita En 1998, il est sollicité pour le Festival « Voix du Monde » à Rio. En Juillet 2002, Djeli fait la connaissance de Janice DeRosa, diva du blues. Ils enregistrent ensemble l'album “Aduna”, qui sortira en juin 2003. Il enregistre également les « Comptines et berceuses du baobab » avec Paul Mindy. « Djeli » se consacre alors à la composition d'un répertoire très vite apprécié par le public des scènes parisiennes. En 2010, il fait la rencontre de Vincent Lassalle qui lui propose de réaliser son prochain album. S'en suivra une longue période de composition et de travail qui verra naitre l'album éponyme « Djeli », entièrement enregistré à Ménilmontant, son quartier de prédilection. Avec un répertoire large et engagé, Djeli lance ainsi un projet personnel, en trio, avec basse, un set de percussions et machines, dans un projet tribal et moderne a la fois, effleurant la pop, insérant une touche d'électro. » source : http://djelimoussaconde.com
Sa virtuosité l'a conduit à accompagner pratiquement tous de musiciens de la scène mandingue internationale parmi lesquels
Check Tidiane SeckCheick Tidiane Seck est un célèbre compositeur et arrangeur de la musique mandingue traditionnelle. Il a beaucoup contribué à faire
connaître cette musique ... Lire la suite,Moriba Koïta Depuis 2003, il s'est lancé dans une carrière de soliste comme en témoigne son dernier album avec la chanteuse de blues new-yorkaise, Janice de Rosa, “Aduna”, qui avait déjà collaboré avec deux grands noms de la kora mandingue, DjeliMoussa DiawaraDjeli Moussa Diawara est un très grand virtuose korafolá. Né à Kankan (Guinée) dans une famille de griots... Lire la suite. et Yakhouba Sissokho, sur l'album “afro Blues”. Sa discographie est si importante que, parmi les disques auxquels je sais qu'il a collaboré, je n'en choisis que les plus significatifs - à ma connaissance - pour ne pas allonger trop la liste...
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DjeliMoussa Conde is an great korafolá A korafolá is a
kora player in mandinka (who is able to make the kora talk) - korafolálu, plural. and singer, coming from Guinea Conakry. Yet, he is still relatively unknown on the world scene, however he
has already on his credit a huge discography ! His virtuosity led him to play with almost all musicians of the Manding international scene as Check Tidiane Seck, Moriba Koïta Moriba Koita is a very great n'konifála, native of Kita (Mali) - the cradle of jelilu great dynasties, very
famous in his country and all around the world... Read more., Mangala, Sekouba
Bambino Diabate, Ousmane Kouyate, Richard Bona, Salif Keita Since 2003, he affirms himself as a solo player exhibiting his talents in his last record with the blues singer, Janice de Rosa, “Aduna”, who had already collaborated with 2 great korafoláluA kora player is called korafolá (who is able to make the kora talk) - korafolálu, plural., DjeliMoussa Diawara and Yakhouba Sissokho, on the “afro Blues” record. His discography is so great even among the records that I know he collaborated, that I chose only the most significant - on my own part...
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