Un premier album paraît la même année, produit par Gilbert Castro. Le succès international du concept (« Ça fait au moins trente ans, si ce n'est un siècle, qu'on attendait ce disque », Nova Magazine, Août 2003) permit au groupe de faire des tournées à travers le monde, dans de nombreux festivals comme celui de Montreux.
En 2005 et 2008, le Kora Jazz Trio publie 2 autres albums, intitulés Part II et Part III, qui poursuivent l'exploration des liens entre Afrique et Jazz. Chaque opus est accueilli avec succès par la presse et le public de fans se fait toujours grandissant. Aujourd'hui, le Kora Jazz Trio a parcouru les scènes jazz les plus en vues de la planète d'Europe, d'Afrique et d'Asie.
Comme disait je ne sais plus quel critique européen, resté sans voix à la sortie du 1er opus : « Ah, ces Africains ! ... » . Pour ma part, quand je pense au Kora Jazz, se rappelle à moi l'adage antique :
« Ex Africa semper aliquid novi » : L'Afrique produit toujours quelque chose de nouveau.
En 2018, le Kora Jazz Band fait paraître Kora Jazz Trio, Part IV, dans une nouvelle formation ;
il intègre le jeune prodige de la kora, habitué de toutes les rencontres musicales : Chérif Soumano (Dee Dee Bridgewater, Tiken Jah Fakoli, World Kora trio,…) et pour mettre en beauté le répertoire s’ajoutent selon les titres le chant de Woz Kali, la contrebasse de Manu Marches, les percussions de Boris Caicedo, le balafon d’Adama Condé et la guitare d’Hervé Morisot (Sodade). Un album qui surprend par la beauté de ses mélanges (une version de Via Con Me à tomber par terre) et ses arrangements audacieux.
Décidément, ce groupe nous surprendra toujours avec bonheur.
With the release of the first 3 records of the Kora Jazz Trio, critics spoke of a « delicious alchemy », of « world jazz », « a miracle of freshness ». A warm welcome for a unique musical fusion that seemed so natural. The meeting of the Mandinka tradition and the freedom of Jazz. The association between the kora, West African percussion and Afro American swing. The dialogue between the griot and the blue note.
2010 is an important step for the Kora Jazz Trio with the preparation of a follow up to the trilogy Part I-Part II-Part III. Djeli Moussa decides to dedicate himself to his solo projects and Soriba Kouyate, renowned kora player, who has a musical background and an approach of the instrument influenced by Jazz, joins the band for their new project called Kora Jazz Band. His presence and his improvisation skills bring a new colour to the music of the Kora Jazz Trio. Abdoulaye, Moussa and Soriba start recording the 4th album in August 2010.
Like the previous records of the Kora Jazz Trio, the new album is recorded in a few days. Prestigious guest participate in the project, each on one track : Manu Dibango on marimbas, Omar Marques on timbales, Andy Narell on steel pans. The release of this new album is scheduled for September 2011.
Sadly, Soriba Kouyate passed away a few weeks after the recording of the new album. During the Fesman, joined by his brother Mady Kouyaté on kora, the members of the Kora Jazz gave a concert in memory of Soriba, in front of the presidential protocol.
In 2011, Yakhouba Sissokho, great master of the kora, used to confront his instrument with different styles (he played with artists like Erik Truffaz, Dee Dee Bridgewater, Lansine Kouyate, J.P. Rykiel ...) joins the Kora Jazz Band.
In the land of the palaver tree, all is matter of dialogue. The Kora Jazz is the proof of that : meeting between jazzmen and old wise men, between tradition and improvisation. And mostly dialogue between the kora and the piano, two instruments so close - both rhythmic and solist - but separated by an ocean.
Two cousins that were separated too early, each on a continent : the kora in the streets of West Africa, the piano in the dark clubs of Western cities. Today, they meet again and have many things to tell us. « Ex Africa semper aliquid novi. », as old Roman used to say.
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L'aventure 
Immense artiste malien, ancien membre du groupe du Buffet de la Gare du Rail Band, Salif Keita a beaucoup contribué au formidable essor de la world music... Lire la suite.
Comme disait je ne sais plus quel critique européen, resté sans voix à la sortie du 1er opus : « Ah, ces Africains ! ... » . Pour ma part, quand je pense au Kora Jazz, se rappelle à moi l'adage antique :
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